les spectacles musicaux

les spectacles musicaux - sommaire :

Page 1 :

Cosi son' tutte (2015)  

La vieille Hélène (2015)

Le Maître et le Chanteur (2013)

Orgie romaine (2012)

Page 2 :

Pas de Gondoles pour Denise (2012)

Besame mAcho (2011)

Madame Mouchabeurre (2009)

Page 3 :

Chantons dans le Placard (2005 repris en 2011)   

Les Dindes galantes (2005)

La Revue qui va faire mâle (2003)

Page 4 :

La Vie rêvée de Solange (2001)

La Bête au Bois dormant (1999 repris en 2007)  

Mamma Rosa (1995)

Il était une fois Tatahouine (1993 repris en 1997)

Les Aventures de l'Archevêque perdu (1991 repris en 1994 et 2000)

Page 5

 Restez chic ! (1990)

La dernière tentation d'Ulysse ! (1990)

 La Chose pourpre du Caire (1988)

Pas de Banane pour Lady Jane (1984-1986) 

Sur les Planches (1983)

Cosi son' tutte

Cosi son’ tutte

(toutes des p…. !)

Nous sommes à la fin des années 50 à Palerme où depuis la mort de son ami Volpone, Don Leone règne sans partage sur le casino et la mafia locale. Luciano, le fils de Volpone, qui est allé faire fortune à Cuba dans les trafics en tout genre, est contraint de quitter l’ile précipitamment, chassé par la révolution castriste. Il revient au pays bien décidé à reprendre la direction du casino qui appartenait à son père.

Outre le casino, Luciano aimerait bien prendre également possession d’Isabella une jeune chanteuse que Don Leone vient d’engager et dont il a fait sa maîtresse.

Entre le vieux parrain tout puissant et le jeune sans un sou, de retour de Cuba, Isabella a-t-elle vraiment le choix ? Et si au lieu de devenir la chose de l’un ou de l’autre, c’était elle qui les possédait tous les deux ?

Il faut toujours se méfier des femmes. « Toutes des p…. !» Don Leone et Luciano ont peut-être eu tort de l’oublier.

Une comédie entièrement musicale, résolument machiste et politiquement incorrecte, signée Michel Heim sur des musiques empruntées à Beretta, Bizet, Datin, Dona, Ferrat, John, Lehar, Leoncavallo, Merrill, Morricone, Nougaro, Offenbach, Porter, Prima, Rodgers, Rota, Verdi et Warren.

Michel Heim a écrit cette comédie à la demande de la Compagnie Soleluna qui la créée au théâtre de l'Etoile Royale à Lyonle 31 décembre 2015 avec Aude Carpintieri, François Tantot et Giorgio Carpintieri.

La vieille Hélène

La veille Hélène

ou

La guerre de Troie n'a pas eu lieu

Opérette "à la grecque"

et résolument iconoclaste librement inspirée de Meilhac et Halévy et… Racine sur des musiques empruntées à Offenbach, Lopès, Hardy, Rezvani, Bouquet,  Brassens, Béart, Bizet, Verdi, Moustaki, Dumont, Vassiliu, Trénet, Le Forestier, Piaf, Lama, Souchon, Renaud, Barbara et... Beethoven.

Contrairement à ce qu’Homère a voulu nous faire croire, Pâris n’a pas enlevé la belle Hélène ; par conséquent la guerre de Troie n’a pas eu lieu.

Trente ans plus tard, la Grèce est au bord de la faillite et Hélène qui n’est plus si belle, ne se montre plus en public.

Alors qu’Agamemnon réunit le Conseil des Rois afin de trouver un moyen pour sortir de la crise, Cassandre débarque incognito à Sparte, porteuse d’une lettre de Pâris pour Hélène…

 

Michel Heim a écrit le livret et les lyrics de La veille Hélène afin de fêter sur scène avec des amis comédiens, chanteurs et musiciens, son passage à la décennie supérieure en octobre 2015. 

Par ordre d'entrée en scène :

Alvaro Lombard (Orphéon - clavier), Guillaume Lucas (Hélicon - guitare et vents - Goldman - Twitos - l'F.M.I.), Thierry Durot (Calchas), Arnaud Dugué (Stophrios), Vincent Escure (Médon), Marc Frémondière (Pylade), Cécile Billand (Iphigénie), Jérôme Cuvilliez (Oreste), Gwenda Guthwasser (Hermione), Xavier Sibuet (Pyrrhus), Franck Isoart (Cassandre - Pâris), Renato Nasi (Ménélas), Hélène Hamon (Hélène), Michel Heim (Clytemnestre), Jean-Pierre Rouvellat (Achille) et Nadine Fety (Andromaque).

Mise en scène : Jean-Pierre Rouvellat et Hélène Hamon

Chorégraphies : Nadine Fety

Chef de Choeur : Elisabeth Joinet

Ouverture enregistrée par : Pierre Cornevin

En raison du succès de la création au Vingtième Théâtre, ce spectacle  initialement monté pour trois uniques représentations a été repris en mai 2016 au théâtre du Gymnase Marie Bell

Le Maître et le Chanteur

Une comédie tragique sur des airs d’opéras

Le Maître et le Chanteur est né d’une demande de Giorgio Carpintieri. En 2010, Giorgio Carpintieri désireux d’interpréter un chanteur lyrique raté, fait appel à Michel Heim dont il a monté pratiquement toutes les comédies avec la Compagnie Soleluna à Lyon, pour lui écrire une pièce mettant en scène ce genre de personnage. Michel Heim lui répond que le drame psychologique n’est pas son domaine, cependant il accepte.

Comme point de départ, Michel Heim pense à la pièce Master Class de Terrence McNally qui relate les leçons de chant données par Maria Callas, mais c’est en fait La Leçon d’Eugène Ionesco qui finalement l’inspire, avec ses trois personnages : le professeur qui devient le Maître, le Chanteur étant évidemment l’élève et le rôle de la bonne trouvant son équivalent dans la pianiste qui accompagne la leçon. Ce rôle sera tenu par Eun-Young Yoon qui fait partie des musiciens de Orgie romaine. Pour le Chanteur Michel Heim demande que le rôle soit confié à François Tantot dont il a apprécié la prestation dans Besame mAcho et Orgie romaine

Un jeune baryton venu de province doit passer une audition à l’Opéra de Paris en vue d’obtenir le rôle de Macbeth dans l’opéra éponyme de Giuseppe Verdi. Avant l’audition, un ami metteur en scène incite le jeune Chanteur à prendre conseil auprès d’un professeur de chant italien, le Maître.

Moins qu’un cours de chant, c’est un cours d’interprétation que donne le Maître au jeune Chanteur sous l’œil inquiet de la pianiste qui accompagne la leçon. La pianiste qui connaît bien le tempérament impulsif du Maître, craint en effet ses débordements. De fait, au-delà des conseils plus ou moins pertinents qu’il donne au Chanteur, le Maître règle ses comptes avec le petit monde de l’opéra ; un monde avec lequel il a rompu volontairement, dit-il, trente ans auparavant, après avoir chanté Macbeth, précisément, à la Scala de Milan.

Sans le savoir, en venant demander conseil pour jouer Macbeth, le Chanteur réveille chez le Maître, une blessure qui ne s’est jamais cicatrisée et qui, malgré les efforts de la pianiste pour ramener le Maître à la raison, va conduire à une fin tragique.   

 Les airs chantés au cours de ce spectacle sont tirés des opéras Rigoletto et Macbeth de Verdi ainsi que du Don Giovanni de Mozart.

 

Le Maître et le Chanteur

Orgie romaine

Orgie romaine, tragédie musicale  est en fait la version musicale de Néron la romaine  que Michel Heim a écrite à la demande de Giorgio Carpintieri, le directeur de la Compagnie Soleluna.

 

Depuis plusieurs années, le 31 décembre, la Compagnie Soleluna joue une pièce de Michel Heim au théâtre de l’Etoile Royale à Lyon. Ce furent successivement  La Nuit des Reines, Néron la Romaine, Tante Olga et Besame mAcho.

 

Pour ne pas faillir à ce qui devient une tradition, pour le 31 décembre 2012, Giorgio Carpintieri  a suggéré à Michel Heim d’écrire une version musicale de Néron la Romaine  suivant la recette qui a fait le succès des Caramels fous, à savoir : le détournement d’airs connus, qu’il s’agisse de chansons de variétés ou d’air de comédies musicales, voire d’opéra.

 

Pour Orgie romaine, Michel Heim a fait appel à ses chanteurs et musiciens de prédilection : Charles Trénet, Barbara, Michel Berger, mais il a également puisé dans les répertoires de Sylvie Vartan, Gilbert Bécaud, Diana Ross, Michel Sardou, Alain Souchon, Frankie Avalon, Henri Salvador, Abba, Léo Ferré, Mistinguett, Richard Antony et Georges Brassens.  L’opéra est aussi présent, avec Wolfgang Amedeus Mozart, Georges Bizet et Giuseppe Verdi.Enfin Orgie romaine s’achève sur un final de l’incontournable Jacques Offenbach.

Orgie romaine sera donc créée au Théâtre de l’Etoile Royale à Lyon le 31 décembre 2012 dans une mise en scène de Giorgio Carpintieri avec, par ordre d’entrée en scène, Gaël Dubreuil (Narcisse), Michel Valls (Néron), François Tantot (Britannicus), Aude Carpintieri (Junie) et Giorgio Carpintieri (Agrippine). La direction vocale est assurée par Véronique Dupin et les musiciens sur scène sont Eun-Young Yoon au clavier, Giacomo Anastasi à la guitare, Pascal Bonnet à la basse et Frank Demaret aux percussions.